La Mort vivante, un album qui a mis quelques années à voir le jour, est une pièce maîtresse dans l’oeuvre déjà forte d’Alberto Varanda. Un trait d’une rare richesse adapté à un monde à la fois fantastique, SF et steampunk. ligneclaire.info a consacré une interview à ses auteurs et signé dans le mensuel Zoo n°25 un dossier sur le sujet. Un roman de Wul, un environnement que n’aurait pas renié Mary Shelley pour Frankenstein dont une sorte de clone, Igor, sévit dans l’album. Un album évènement qui raconte comment une mère veut à tout prix ressusciter sa fille mais à trop jouer aux apprentis-sorciers, on peut se brûler les ailes. Le dessin de Varanda est à redécouvrir avec toute son expression et sa puissance dans la version grand format de l’album en noir et blanc.
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