Une lutte, celle pour la vie, d’une jeune fille, grièvement blessée par un type qui lui vole son portable. Stéphane Levallois a écrit un récit sans paroles, en noir et blanc rehaussé parfois de pastels. Dans Racket, il vole de case en case, comme son héroïne, affronte angoisses et malheurs, joies infimes. Qui sortira vainqueur de ce bouleversant voyage au bout de la vie ?
Il faut ajouter au récit de Stéphane Levallois ses propres impressions. Ne pas rester un spectateur passif. On voit que le duo père-fille est marquée par l’absence de la mère. On comprend aussi que le père va tenir au bout de son bistouri l’agresseur de sa fille. Ne pas hésiter à se laisser emporter par le déroulé de ce drame urbain finalement, possible, plausible. Racket est avant tout l’esprit en cavale d’une petite fille qui grandit. On ne sort pas intact de cette aventure.
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