Il a un don pour se retrouver là où il ne faut pas Jack Pars. Et puis il y a la jolie musicienne de choc Amadeus Kitty qui se retrouve avec lui sur un coup tordu. Bad Ass est de retour avec toujours Herik Anna au scénario et Julien Motteler (Détectives) au dessin plus couleur. Une tripotée de méchants et King Arthur, autre pas triste dans le genre chevalier généreux, pour ce récit complet du meilleur comics français, déluré, décontracté et aux dialogues pour le genre savoureux.
De l’humour, de l’action, des idées à la pelle, c’est ce qui fait pour un non spécialiste du comics le plaisir de lire Bad Ass depuis ses débuts. Personne ne se prend vraiment au sérieux mais tout fonctionne. Herik Anna maîtrise son sujet, toujours à la recherche de la nouveauté inspirée. Pas de repos ni de laissez-aller dans le scénario bien servi par Motteler. Un accès facile, Bad Ass est un must en la matière. Son Kitty Kitty Kill Kill nom de l’épisode est un clin d’œil à une autre Kitty Kitty mais bang bang.
Bad Ass, Kitty Kitty Kill Kill, Delcourt, 15,50 €
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