On atteint le paroxysme de la lutte qui oppose Marcus et Arminius le Germain adopté par Rome et qui n’a de cesse que de retrouver ses origines pour se venger. Dans le tome 5 des Aigles de Rome, Marini emballe l’action d’un trait bourré de force et de réalisme. Marcus est le seul à pouvoir éviter que les Légions romaines soient prises au piège et son amour pour Priscilla n’arrange pas les choses. Marini sait raconter des histoires qui tiennent le lecteur en haleine. Le dénouement est proche. Malheur aux vaincus.
Du grand spectacle bourré de détails en particulier dans une double page ou Romains et Germains s’affrontent et sur laquelle on voit les deux héros en pleine action. Tout n’est pas pourtant encore joué. On sent que Enrico Marini réserve des surprises à ses lecteurs comme à ses personnages Un souffle épique pour une série forte aussi en rebondissements dramatiques et sentimentaux.
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