On s’y attendait un peu depuis le début. Pierre Makyo, Toldac et Frédéric Bihel ont signé une histoire sympathique qui oscille par moment entre comédie sentimentale et dramatique. Hormis cette fin prévisible, l’histoire ne fonctionne pas si mal. Cette digression sur amour, passion, le tout sur fond de psychologie informatisée, est intéressante car elle préfigure un futur possible où les sentiments seraient dictés par notre compatibilité informatique.
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