Des mondes suspendus post-apocalyptiques, des plaines flottantes, une ambiance de chaos où règne la volonté de vengeance, Extremity est en fait une histoire de clans et de familles. On y règle des comptes sanglants sans pitié, on s’y étripe même pas joyeusement. Quels sont ces univers qui semblent avoir connu de meilleurs jours, ces chimères devenues armes de combat, un robot aux pouvoirs immenses ? Daniel Warren Johnson pour le scénario et le dessin, Mike Spicer pour la couleur, ont mis au jour un OVNI impressionnant de force et de qualités créatives.
Beaucoup plus subtile qu’il n’y parait cette guerre à outrance, cette vengeance qui monte en puissance dans l’horreur et la violence. A quel moment les nouvelles générations vont-elles comprendre que l’union fait la force ? Une vue politique dans le récit, artistique aussi avec les dessin de Théa qui sont autant de témoignages fondateurs. Des vaisseaux mélange de forts du Moyen Age et d’îles perdues, ou de nefs spatiales, des animaux monstrueux sortis de la préhistoire, revus et aggravés, un robot balise pour détruire les mondes, la mort est au rendez-vous en permanence. Jusqu’à la fin. On se laisse embarquer dans cette aventure épique et surprenante dès la première page. A lire absolument.
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