Dans le dernier épisode, le tome 3, on commençait à se douter que tout ces vaisseaux abandonnés n’étaient pas vraiment catholiques. Dans le tome 4, Millénaires, on sait enfin presque tout mais peut-être pas vraiment ce à quoi on aurait pu s’attendre. Olympus Mons, c’est du Christophe Bec pur et dur. Avec Stefano Raffaele qu’il connait bien, ils ont mis en scène une aventure cosmique. De la SF à haute dose mais aussi quelques concepts religieux ancestraux revisités. Le rythme s’accélère vraiment cette fois. 2026 sera-elle l’année de la fin du monde ou est-ce que le télépathe Aaron sauvera l’humanité ? Il faudra encore attendre le prochain album. Et sûrement d’autres rebondissements.
Bon, allez. On ne boude pas notre plaisir. Les petits hommes verts ne le sont pas. Elena Chevtchenko arrivera-t-elle à sauver sa peau et en prime la Terre ? Aaron va avoir de curieux boutons, a les yeux qui brûlent et sous la mer ça craint. Cette fois fini de rire. Les forces en présence, quelles quels soient, vont dégainer. Et puis il y a ces signes mystérieux, une clé possible. Le dessin de Raffaele est bien construit, pour grand écran, avec des effets superbes. On reste sur sa faim, normal. A suivre.
Olympus Mons, Tome 4, Millénaires, Soleil éditions, 14,95 €
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