La lutte devient de plus en plus dure, violente entre la Reine et le Roi banni Gédéon. Au milieu du combat les trois enfants sauvés par la comtesse, Aristophania. La cible c’est la destruction du royaume d’Azur et un vieux compte à régler. Dans ce tome 3, Xavier Dorison fait bouger les lignes et dévoile quelques-uns des secrets qui permettront de remonter vers la source Aurore seule capable de venir en aide à Azur. Joël Parnotte a crée un monde où le féérique côtoie le réalisme le plus pur dans un environnement superbe graphiquement.
Ils sont dans les égouts pour affronter le Roi banni qui les attend de pied ferme et va leur régler leur compte. Il faut avertir la Reine mais le seul survivant ne va pas aller loin grâce à Garance. La comtesse récupère Victor qui a failli se noyer et découvre la montagne rouge. Calixe a disparu. La Reine va procéder aux obsèques d’un des serviteurs de l’Azur. Il ne reste plus qu’elle et Aristophania pour contrer les projets du roi banni. Elle se souvient aussi des raisons qui l’ont fait basculer du mauvais côté et devenir un monstre. Les enfants sont seuls à pouvoir empêcher le pire. Aristophania va encore devoir affronter les tueurs du Roi.
On progresse et on sait désormais le pourquoi de cette sécession du Roi. Un choix étonnant d’ailleurs de Dorison mais bien amené. Un jeu de dés qui donne des clés, les enfants dont Victor qui découvre leurs pouvoirs et comment s’en servir, leur mère enlevée, Basile qui a des états d’âme, la frontière entre méchants et gentils est indécise. Le passé resurgit. Un épisode important car désormais les camps sont en apparence au moins bien définis.
Aristophania, Tome 3, La source Aurore, Dargaud, 15 €
Un numéro spécial de Spirou qui va faire date, c'est celui du 1er mai. Il…
Un océan tout bleu pour une histoire sans précédent, qui mêle façon Grand Bleu aventure,…
Une lente mais prenante balade au cœur de la forêt, une communion avec la nature,…
On avait dit que La Sagesse des Mythes, collection consacrée à la mythologie grecque, devenait…
L'Union Européenne, un grand bazar, c'est ce que dit Kokopello dans La Tour de Babel…
Un capitaine pirate pas très doué au moins en apparence qui va jouer son va-tout…