Le Festival d’Angoulême est finalement reporté du 17 au 20 mars prochain (et le mercredi 16 mars pour sa journée professionnelle) dans toutes ses composantes, sa programmation artistique, sa Compétition Officielle, la désignation du Grand Prix, son offre éditoriale associée à la présence des auteur·trice·s et de leurs éditeurs. La totale. L’ambition reste par conséquent totalement intacte de pouvoir proposer à tous les amateur·trice·s de bande dessinée une édition comparable, par sa richesse et la diversité de son offre culturelle, à celles qui ont précédé la pandémie.
Le choix de ces dates s’est effectué en concertation avec les partenaires publics et privés du Festival et en prenant en compte différents facteurs. Au premier rang de ceux-ci l’évolution de la situation sanitaire dont le pic apparaît, selon les projections actuelles, se situer en ce mois de janvier. L’expérience démontre qu’une décroissance significative devrait s’opérer dans les semaines suivantes – certains pays évoquent même dès maintenant un passage de la pandémie à l’endémie. Une situation qui rouvrira logiquement, de nouveau, des latitudes d’action dans le champ évènementiel.Viennent ensuite d’autres considérations telles que le calendrier des manifestations culturelles (afin de minimiser au maximum les préjudices réciproques qui pourraient survenir), la nécessité de promouvoir des œuvres dans une temporalité en lien avec leur présence en librairie, les périodes électorales.
L’espérance est forte de retrouver le Festival dans sa forme la plus aboutie, fédératrice de tout un écosystème du 9e art générateur d’une véritable passion chez de très nombreux français et internationaux attendus à Angoulême dans ce temps inédit de mars. S’adapter est devenu un maître mot pour tous, l’organisation du Festival participe de cette dynamique.
En attendant le mois de mars, le Festival invitera à des rencontres de différentes natures avec la bande dessinée :
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