En revenant d’un camp dans les bayous de Louisiane, une bande d’ados et leur éducateur découvrent qu’une alerte à un virus terrifiant, le HBV2, a transformé la région en un piège mortel. Les malades qu’il touche deviennent des mutants agressifs et défigurés. L’un des jeunes gens est contaminé. Ses copains ne veulent pas l’abandonner et refusent d’être évacués. Green Class est plus près de Gung-Ho que de Seuls même si on joue dans un registre assez similaire, celui de la solidarité entre copains et amoureux en puissance. Dans ce premier tome, les personnages prennent leurs marques et de la consistance pour mieux affronter un destin pas vraiment marrant à moins que… Jérôme Hamon a bâti le scénario qui se distingue par son panel bien vu de héros ados qui vont devenir adultes, et par l’idée même de la force de l’amitié pour le malade de la bande. Côté graphique David Tako assure en tout point, univers, ambiance et dessin des personnages. Les deux auteurs ont aussi collaboré au niveau de l’écriture en général de cette série bien balancée qui ne fait pas du tout, en fait, dans le classique zombie story et innove sur bien des niveaux. Sortie le 15 février en librairies.
La mécanique ne laisse rien au hasard. Tout en maintenant le suspense. Quelle est la cause de cette mutation ? Un virus curieux. Quel est le rôle de Noah ? Comment les six ados vont quitter le monde de l’enfance pour affronter celui des adultes ? Le tout dans des décors et un environnement hostile, voire fantastique, peut-être. Une série qui devrait s’imposer, on lui souhaite, par son originalité et ses nombreuses qualités dont sa très bonne accroche narrative.
Green Class, Tome 1, Pandémie, Le Lombard, 12,45 €
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