Eric Corbeyran signe ce polar en y ajoutant une vraie défense des malentendants, de leur intégration dans la société. Maya sous le crayon de Horne Perreard a du volume et un relief certain, une crédibilité totale. Un dessin réaliste et précis sans en rajouter s’associe au très bon scénario de Corbeyran qui amène le lecteur sur une piste étonnante au dénouement que l’on ne peut dévoiler, suspense oblige. Intelligent et bien ficelé.
Le Port de la lune, Tome 2, Le Miroir de l’eau, Vents d’Ouest, 13,90 €
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