Jusqu’à présent, celui qui avait dit merde aux Anglais à Waterloo, c’était Cambronne. Au moins pour la grande Histoire. Avec L’Homme de l’année 1815 on en sait désormais plus sur sa véritable identité.
Sébastien Latour a brodé son scénario autour du mot historique en reprenant les grandes dates de l’épopée napoléonienne, en y ajoutant ses deux héros tout à fait crédibles, dans la lignée des officiers et des maréchaux d’Empire. Le dessin de Gin est réaliste, bien documenté. On plonge avec lui au cœur de l’action et de la psychologie des deux combattants pour qui la guerre est une sorte de compétition, de jeu terrible dont la mort est la sanction immédiate.
L’Homme de l’année, Tome 3, 1815, l’homme qui hurla « Merde ! » à Waterloo, Delcourt, 14,30 €
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