Un diptyque futuriste et écologique sur une Terre dévastée devenue un désert agricole aux mains d’un consortium tout puissant, Résilience met en scène la résistance qui croit encore à un possible retour en arrière et veut bannir les O.G.M. Augustin Lebon (Le Révérend), sur un découpage de Louise Joor, décline le destin d’Adam qui va prendre la relève de ses parents membres du réseau. On pense un peu à Neige ou à des films comme Mad Max ou Waterworld.
Un scénario nerveux avec en arrière plan le mythe de la cité parfaite qui vit sainement et à l’abri de tout, on se laisse embarquer à la suite d’Adam et de ses deux copines dont la brune Ellen qui déménage. Le nom de la firme dominatrice en cherchant bien fait penser à une qui existe vraiment façon O.G.M. Une vision malheureusement possible et plausible à courte échéance. A noter que résilience signifie la capacité d’un corps, d’un organisme ou d’un système à retrouver ses capacités initiales.
Résilience, Tome 1, Les terres mortes, Casterman, 15,50 €
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