Des petits truands et un braquage raté avec un des leurs grièvement blessé, une planque dans une casse tenue par un ancien boxeur, un boss sans pitié, Succombe qui doit est un polar noir à souhait comme on dit. Rica et Antoine Ozanam ont bâti une histoire à la fois de haine et de vengeance parfaitement maîtrisée et bourré de surprises.
On s’accroche aux branches. D’un polar relativement classique sur le fond, Ozanam a fait une variation sanglante qui part en vrille avec talent et ne fait pas dans la dentelle.Il y a des phénomènes dans ce Succombe qui doit. Beaucoup de psychopathes et pas en herbe.Des redoutables qui vont avoir des interférences définitives dans leurs destins. Violence à tous les étages que Rica magnifie par un dessin étonnant de puissance évocatrice. La couleur y fait aussi beaucoup. Un coup au cœur.
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