Ce qui est imparable avec Jodorowsky, c’est quel que soit son scénario, généralement totalement atypique et déjanté, on y croit. On se laisse prendre à sa narration exubérante et facétieuse. Avec Les Chevaliers d’Héliopolis servi par le dessin enlevé, riche et brillant de Jérémy, on suit les traces de son héros, Louis XVII en rupture du Temple, homme et femme à la fois, en passe de devenir un immortel. Certes c’est pas gagné pour le fils de Marie-Antoinette car les Chevaliers sont des intraitables romantiques aux pouvoirs surhumains. Dans ce tome 2, le comte de Saint-Germain, un des chevaliers, va percer à jour les desseins d’un certain Bonaparte auquel Asiamar, ex-Louis XVII, devra bientôt rendre visite.
Les Chevaliers d’Héliopolis, Tome 2, Albedo, l’œuvre au blanc, Glénat, 14,95 €
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