Pris aux piège les explorateurs. Ils recherchaient des survivants, ceux des vaisseaux perdus dans l’espace avec leurs colons endormis dans leurs sarcophages. Ils trouvent Clarence qui a dormi 123 ans dans son caisson. Mais ils vont aussi se faire capturer par un autre survivant et là les ennuis commence dans ce tome 2 de Colonisation signé par au scénario Denis-Pierre Filippi et au dessin Vincenzo Cucca. Rien ne se perd dans l’espace. Un space opera qui se complique.
Un mélange parfois un peu complexe, on l’avait déjà dit pour le tome 1, de science-fiction, d’horreur et de grand spectacle par contre bien assumé sur le plan graphique. L’idée générale de cette colonisation qui dérape malgré elle est innovante comme aussi ces explorateurs novices qui tombent pour leur dernier test sur un cas de figure compliqué. Fin du premier épisode. A suivre sûrement mais en ordonnant mieux le débat.
Colonisation, Tome 2, Perdition, Glénat, 13,90 €
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