Toujours dans la collection Jour J, une uchronie toute neuve pour le tome 16 avec L’Étoile blanche. Parce que le Titanic n’a pas coulé la face du monde en a été changée. En mieux, en pire ? Duval et Pécau avec Fred Blanchard ont concocté une aventure, celle d’un homme qui finira par se prendre pour Dieu.
Le scénario est astucieux, bien documenté et au moins pour la période 1912-1950 assez crédible. La suite s’emballe un peu mais on sent l’expérience des auteurs. Bon dessin classique et efficace de Damien sur des couleurs de J.P Fernandez.
Jour J, Tome 16, L’étoile blanche, Delcourt, 14,50 €
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