Marini a démontré qu’il savait écrire une bonne histoire, de celles dont on attend avec impatience la suite. Tout en espérant aussi que le plaisir durera. Avec Les Aigles de Rome (Dargaud), le tome 4 ne fait qu’ajouter à la satisfaction de se plonger dans les méandres d’un duel sans pitié entre deux hommes et de s’étonner encore devant la maîtrise graphique de Marini, son pouvoir de narration par un dessin éclatant.
C’est une saga à grand spectacle, un western antique, les glaives remplacent les Colt. Les Germains sont les Indiens et Marcus a un côté Blueberry. Difficile de faire mieux en compliment. On est dans l’album, pris par le souffle de l’aventure. On aimerait que les planches s’élargissent sur un écran de cinéma.
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