Des parents certes riches mais moralement aux abonnés absents, Astrid vit sa vie et veut aller à tout prix découvrir le mystère du pensionnat de Canterville. Une parenthèse : à voir absolument le film avec Charles Laughton mais aussi l’adaptation à partir de Wilde en noir et blanc de Santelli pour le Petit Théâtre de la Jeunesse à la télé. On revient à Astrid qui intègre le pensionnat sous la houlette de Miss Poppyscoop . A 300 000 dollars l’année faut rentabiliser. Astrid se fait des copines mais elle est trop bonne élève. Ses camarades de chambre sont deux jumelles rouquines délurées qui ne croient pas aux revenants. Elles vont apprendre à Astrid à être populaire pendant qu’elle continue à chercher ses fantômes, les créateurs du collèges qui en ont marre d’être hantés depuis un siècle par des hordes de chipies. Il faut qu’Astrid les aide à s’enfuir.
Un conte aux nombreux clins d’œil comme Parme sait les écrire. Astrid a un petit côté cas social mais elle va former une belle équipe avec ses fantômes. Un ton léger, un trait délié aux influences des cartoonists US, Fabrice Parme a donné le jour à une charmante petite fille au caractère bien trempé dont il fait bon lire les aventures.
Astrid Bromure, T2 Comment atomiser les fantômes, Rue de Sèvres, 10,50 €
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