Au départ, c’étaient les avions les plus étonnants dérivés des projets non aboutis nazis qui portaient la série. Sur le scénario de Nolane, Maza s’en donnait à cœur joie. Et puis il y a eu un lent décrochage, un virage sur l’aile finalement pour accentuer la partie fantastique avec un pilote d’essai qui rêve d’Adolf. Enfin on a retrouvé sous la glace un visiteur pas très sympa venu d’ailleurs et capable de se servir d’une arme terrifiante. Sauf que, même si on a un petit faible pour la série, avec neuf tomes, Wunderwaffen tire à la ligne. Mais bon on verra bien la suite.
Depuis le tome précédent et malgré le talent de Maza côté aéronautique, le scénario s’étiole un peu et on patauge. L’allusion au film de Carné, Les Visiteurs du soir, est diaboliquement amusante. Encore qu’il vaut mieux avoir vu le film avec la sublime Arletty pour comprendre. Murnau, le pilote d’essai, héros de la série, est toujours le fil rouge de ce face à face entre l’abominable Himmler qui rêve d’être calife et l’Alien des glaces.
Wunderwaffen T9, Le visiteur du soir, Soleil, 14,50 €
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