Didier Daeninckx est un poids-lourd du polar qui ne fait pas dans la dentelle. Côte justice pas nette, flic vicelard et politicien véreux, du beau monde. Dans La Chute d’un ange, Mako au dessin trace l’univers glauque de l’après-guerre où des gamins de l’assistance se font trucider.
Sordide mais plausible ce petit arrangement entre amis avec victime désignée, un coupable innocent et dossier bouclé au mieux des intérêts du pouvoir. Daeninckx est un magicien de l’intrigue sans happy-end. Paquet ce n’est pas Maigret. Mako a parfaitement retranscrit les ambiances de Daeninckx avec qui il travaille depuis longtemps (Dernière station avant l’autoroute). Efficace ce polar.
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