Les voisins de la jeune femme, fantôme curieux, se dévoilent à elle, Émilie. Elle enquête avec la complicité du matou qui règlera ses comptes avec une mégère tueuse de ses semblables.
Sorel a bâti un univers envoûtant, tendre et violent à la fois. Le rêve et sa réalité ne font plus qu’un dans un roman fantastique, parsemé d’une pointe de surréalisme à la Cocteau. Fantasque aussi cet Hôtel Particulier, lieu de passions et de plaisirs avoués, d’amour sous les lavis de Sorel qui laissent transparaître tendresse et sensualité. Une beauté subtile des textes et de ses images qui se déroulent aussi sous forme de drame dont l’amour vaincra. Un album qui mérite le succès par la beauté de sa forme et de son fond. Guillaume Sorel se fait trop rare.
Hôtel Particulier, Casterman, 17 €
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