Les motos de la nuit sont autant de cavaliers de l’apocalypse. Dormeurs, Polars, castes et guerriers, tueurs, vampires, Druillet met en scène un monde qui se meurt, implose, bariolé de couleurs vives, en bandes strips qui alternent avec des planches moins découpées. La fin ne peut être que tragique, définitive, sanglante.
La réédition est celle de l’album d’origine avec sa couverture elle-aussi originale. On y retrouve tout le talent et le génie de Druillet, Grand Prix en 1988 de ce Festival d’Angoulême qui ouvre ses portes ce jeudi 30 janvier. Druillet a créé un univers inimitable. La Nuit est son album le plus intime. On y ressent tout son désespoir. A relire absolument.
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