Des libertés historiques, il en prend Jodo et le dessin de Jérémy lui emboîte le pas. Tant mieux. On est dans une fantaisie héroïque qui ne revendique pas le label grande Histoire. On laisse quelques surprises à cette saga initiatique et possédée, curieux de savoir où il va embarquer le numéro 17 devenu le comte Asiamar après quelques initiations musclées et son arrivée chez Louis XVIII. A lire par plaisir, sans trop chercher une vraie logique à tout cela. Un héros à qui Jérémy a donné, et c’est voulu, un côté très sympathique visuellement.
Les Chevaliers d’Héliopolis, Tome 1, Nigredo, l’œuvre au noir, Glénat, 14,50 €
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