On les suit dans Fluide avec plaisir car ils ont innovés avec leur façon de raconter les petits ou grands faits méconnus de l’Histoire. Monsieur le Chien et Julien Hervieux (dit L’Odieux connard) en ajoutent une belle couche avec le tome 3 du Petit Théâtre des opérations. Incroyables et pourtant vrais, ces actes héroïques ont aussi leur part d’humour sans pour autant crier au nationalisme mais plus simplement au patriotisme de femmes et d’hommes qui se battent pour la liberté.
Un Belge, Jean de Selys Longchamp qui refuse la défaite en 40, part en Angleterre, vole sur Typhoon et a des infos sur la Gestapo de Bruxelles qui torture à cœur joie ses compatriotes. Alors il y va tout seul et rase l’immeuble des nazis. Assez connu cet épisode et un pilote hors normes pour une belle histoire belge. Ensuite on passe à un navire de guerre US, une plaie qui va accumuler les coups tordus involontaires. A couler le USS William D. Porter et par les siens. Un avion de ligne transformé en corsaire de l’air qui en plus va être le premier à bombarder Berlin et mettre Adolf en colère, c’est aussi à découvrir. Il s’appelait Jules Verne le gros oiseau.
On aura aussi un Gurkha du Népal qui fait un malheur contre l’empire du Soleil Levant avec un œil et un bras en moins. Des morts-vivants dans les tranchées, et Russes en plus, avec au final Nungesser as des as en 14-18 sur son biplan, un hussard reconverti dans l’aviation avant de disparaitre avec Coli en traversant l’Atlantique. On en laisse à découvrir dans ce troisième épisode encore plus vrai qu’incroyable.
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