Un dernier coup d’œil sur cette édition du Festival d’Angoulême 2018. De la pluie, un peu beaucoup, un très grand Prix pour Richard Corben qui fait vraiment plaisir, une superbe exposition Cosey sur laquelle on reviendra, celle sur Martin, un palmarès qui tient bien la route pour une fois avec un superbe titre La Saga de Grimr et le Fauve Polar pour Delcourt, éditeur qui marque des points (les dix titres sélectionnés avaient leur chance dont celui d’Edith, Emma G. Wilford). Bravo aussi à Marion Montaigne dont l’album est dans la logique du prix du public. Idem pour le prix Jeunesse avec La Guerre de Catherine, émouvant et indispensable. Pas de regrets et un jury qui a fait du bon boulot, ce qui n’est pas simple. Il faut l’avoir vécu.
On peut évoquer une organisation cadrée mais constater qu’Angoulême est avant tout et reste un marché de la dédicace en expansion qui dérape parfois même chez des éditeurs théoriquement rompus au combat. Enfin le public a répondu à l’appel comme on dit. La liste des autres fauves est en fin d’article parmi laquelle le chouchou de ligneclaire est le Fauve Polar, l’extravagant Jean Doux. Que dire de plus ? Pas grand-chose si ce n’est la gentillesse des auteurs toujours disponibles en toute simplicité et que le monde de la BD est quoiqu’il en soit pas vraiment celui des Bisounours mais reste sympathique et encore à échelle humaine. A l’année prochaine. J-L. T
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