Une ligne claire à faire pâlir d’envie Ted Benoit (presque), un garagiste de fortune qui adore les histoires d’espionnage, les années cinquante à Bruxelles, Rodolphe après Centaurus avec Leo, a donné vie à un privé atypique, décontracté et beau gosse. Au crayon, c’est Louis Alloing qui avait signé avec Rodolphe La Marque Jacobs.
Du polar et de l’espionnage mélangés à bonne dose, des manipulations, on est vraiment en pleine guerre froide dans une ambiance où tous les coups sont permis. Sax a un petit côté à la Chandler. Les espionnes sont belles et ressemblent à Grace Kelly. Un album très divertissant car Rodolphe sait peaufiner un scénario, bien dessiné par Louis Alloing avec des influences de Giardino et de Cabanes pour les visages des personnages.
Robert Sax, Tome 1, Nucléon 58, Delcourt, 14,95 €
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