L’Afrique encore mais cette fois pour une histoire émouvante, celle de deux hommes que la musique va rapprocher malgré tout. Dans le Tourne-Disque, Zidrou reconstitue le Congo belge des années trente. C’est le « doux » temps des colonies où le Blanc règne en maître sans malheureusement se poser de questions. A moins que.
C’est un joli roman, une belle histoire, touchante comme Zidrou sait les écrire. Elle donne envie de croire que Eugène aurait pu ne pas être une exception. On se laisse bercer par la partition de Zidrou, par le trait clair de Raphaël Beuchot qui a aussi participé au scénario. Suaves pastels de Sarah Murat pour ce Tourne-Disque qui fait du bien dans un monde où la violence est de mise.
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