Le titre se suffit à lui-même. Georges Wolinski se raconte tout au long de ce gros recueil de plus de trois cents pages. Le Bonheur est un métier est une autobiographie qu’a scénarisée et dirigée Virginie Vernay. La postface, d’une émouvante tendresse, est signé par Elsa Wolinski. Autant dire que lire ces pages, regarder ces dessins en sachant comment est mort avec ses amis de Charlie cet amoureux de la vie, cet inconditionnel de l’humour, pudique mine de rien, est parfois difficile sans se laisser aller à une colère sans nom.
Le bonheur et le malheur c’est pareil. Il le dit dans un dessin Wolinski. Être drôle n’est pas toujours facile. Les grands comiques ne le sont généralement pas. Wolinski était unique, pince sans rire, imprégné dès sa jeunesse d’un humour parfois sombre mais généreux, lucide, accrocheur et tourmenté qui marquera toute sa carrière de trublion génial. Il avait du charme, de la générosité, du désespoir aussi. Un honnête homme au sens le plus entier du terme, avec ses faiblesses et ses courages, son talent. Un bouquin à dévorer, sans tristesse, en souriant, page après page.
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