La Cour d’Appel de Montpellier se prononcera finalement mercredi prochain, le 19 juillet sur le nom du repreneur des librairies Sauramps à Montpellier, Odysseum et Alès.
Rien n’est donc joué dans l’attristant feuilleton Sauramps. Sont toujours face à face les deux repreneurs, le groupe Le Furet du Nord, libraires confirmés et nationaux, et la société Ametis de l’architecte montpelliérain François Fontès. Deux différences fondamentales entre eux, le nombre de salariés licenciés et l’exploitation de Sauramps Odyssée qui « plombe » depuis son ouverture les comptes d’exploitation entre autre à cause des frais de location du site. Le Furet du Nord supprimerait 62 emplois sur 119 en étant toutefois revenu sur leur nombre en gardant quatre employés de plus et fermerait Odyssée comme il l’avait déjà fait avant l’appel. Pour Ametis, ce serait 94 emplois conservés avec semble-t-il un accompagnement, voire le maintien partiel de l’ancienne direction qui porte sa part de responsabilité, aux yeux des employés, de la chute de Sauramps. La raison voudrait que la reprise de Sauramps par Le Furet du Nord soit confirmée. Le cœur, lui, pencherait en faveur de François Fontès dont on ne connait pas pourtant toutes les motivations de cette volonté de reprise dans un domaine d’activité inconnu d’un groupe immobilier mais dont les ancrages montpelliérains expliquent sûrement cet investissement.
Quelle que soit la décision, il faut qu’elle puisse se mettre en place le plus vite possible. Chaque jour qui passe aggrave la situation financière de Sauramps dont le site internet ne répond plus. Les magistrats de la Cour d’Appel jugeront vraisemblablement en faveur du, à leurs yeux, plus professionnel des repreneurs tout en demandant que les employés licenciés puissent bénéficier de bonnes conditions de départ. Réponse le 19 juillet en souhaitant qu’ensuite Sauramps puisse repartir pour le plus grand plaisir de ses clients sans s’enliser dans un combat aléatoire. J-L. TRUC
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