Pour subvenir à ses besoins, elle vend des sandwiches, Alison. Et prépare une expo de ses toiles à la galerie huppée First Look. Elle a une phobie du métro Alison, impossible de descendre sous terre. Faux dire que ses tableaux sont un brin angoissants, revenants, fantômes. Des métaphores qui pourraient bien avoir une base bien réelles pour la sorcière Alison en rupture de ban. Le vernissage est un succès et il y a même le futur maire de la ville. Mais aussi un sorcier qui va envoûter la galerie. Les tableaux se mettent à vivre et panique dans la salle. Alison, avec ses pouvoirs, tente de le contrer. C’est son propre frère, Bayard, qui l’agresse. Il doit la ramener chez les siens, dans Under York aux mains de cinq familles aux origines ethniques spécifiques. Une menace rode et ils ont besoin d’Alison pour sauver l’humanité du terrible Marduk.
Il y a un grand méchant sorcier au visage d’ange qui veut s’offrir les humains et semer la panique dans le monde d’en haut. On y a joute le Vents Noirs et bien sûr, les états d’âme d’Alison dont les parents sont accusés d’être la cause de ce noir bazar. L’alternance du journal et du dessin casse parfois le rythme. Sinon, on est dans de la fantasy fantastique à la SOS Fantômes améliorée. Le dessin est dans le ton et a donné un joli relief au personnage principal. Trois tomes au programme pour cette lutte entre Under et New York.
Les Chroniques d’Under York, Tome 1, La malédiction, Glénat, 16,90 €
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