La Galerie Daniel Maghen présente à Paris une rétrospective de Michel Tacq, dit MiTacq (1927 – 1994) centrée sur sa série phare La Patrouille des Castors (éd. Dupuis) dont se souviennent avec émotion tous les lecteurs de Spirou des grandes années de l’hebdomadaire. Le vernissage de l’exposition a lieu le vendredi 31 mars 2017 à partir de 19h.
La Patrouille des Castors sera particulièrement mise à l’honneur lors de cet évènement 16 albums seront représentés, parmi lesquels des titres mythiques tels Le Trophée de Rochecombe, Le Hameau englouti ou Le Mystère de Grosbois, tout premier album de la série. Les planches au dessin et à l’encrage classiques renforcés par les indications couleurs au dos, visibles par transparence, révèlent la richesse de l’œuvre de MiTacq. Des planches originales issues des séries de Jacques Le Gall et Stany Derval complètent cette rétrospective.
Michel Tacq (1927-1994) dit MiTacq, fréquente l’atelier Saint-Luc de Bruxelles dès 1942. C’est pourtant en 1951 qu’il pousse la porte de la World’s Press dirigée par Georges Troisfontaines. Très influencé par Joubert, MiTacq ébauche le projet d’une bande dessinée scoute, La Patrouille des Castors, qu’il propose à la World’s. Le scénario sera confié à Jean-Michel Charlier qui assurera l’écriture des 21 premiers albums de la série.
À la naissance de Pilote, Charlier propose à MiTacq une nouvelle série, Jacques Le Gall, qui comptera 6 albums. Dans les années 1960, confronté aux retard d’écriture de Jean-Michel Charlier, MiTacq décide de créer le personnage de Stany Derval, un motocycliste globe-trotter. André-Paul Duchâteau, Maurice Tillieux ou encore Jacques Stoquart participeront à cette aventure sur près de 300 planches. MiTacq poursuivra les aventures des Castors jusqu’à sa mort en 1994 à Loverval.
Une histoire à la Erre, Fabrice de son prénom pour lequel on a amitié et…
Un conte et légende moyenâgeux , avec une jeune héroïne, une bête qui mange les…
Il y a eu au cinéma Léon Morin prêtre avec Belmondo qu'on aurait bien vu…
Il a du cœur Hervé Bourhis et le sien lui a joué un mauvais tour…
Toujours un plaisir de retrouver Michel Chevereau au dessin et Jack Manini au scénario pour…
On peut remercier Grand Angle d'avoir su avec talent porter en BD l’œuvre enchantée de…