Deux jumeaux qui vont avoir des destins différents mais dont les routes se recroiseront, c’est la base du scénario de Francis Carin pour le premier volet des Ennemis de sang. Omer et Oscar sont les fils d’un couple de riches industriels de Flandre à la fin du XIXe siècle en pleine révolution industrielle. Omer est enlevé par une femme qui vient de perdre son enfant.
Un drame social dont le scénario est un peu tiré par les cheveux. Un enfant enlevé bébé à qui on laisse son prénom, une médaille carte d’identité, une mine où travaille le père adoptif et dont le père authentique est le patron, cela fait beaucoup. L’ensemble se tient mais on n’a pas de surprise majeure à la lecture. Le dessin de David Caryn associé à Francis Carin assure le côté réaliste de l’aventure qui va dans le tome 2 ouvrir ses portes à la Grande Guerre. C’est de saison.
Ennemis de Sang, Tome 1, Les Moissons Funestes, Glénat, 13 €
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