La beauté doit se suffire à elle-même, sans étiquette. Andrei Puică s’envole avec ses Oiseaux Lumineux, un voyage dans un monde dont le roi est Violanzo qui en redécouvre sa vision. Graphiquement et narrativement étonnant, captivant, ce premier album de l’auteur roumain (l’album est inédit dans son pays) va interpeller évidemment car singulier, très personnel et hors normes. Une poésie fantastique, fantasque, sublimée par le trait, le découpage et les couleurs choisies, une violence sociale aussi, politique et pourquoi pas religieuse, un choix de liberté, tout dans ses Oiseaux lumineux peut toucher et faire réagir. Un album qui sort avec talent des sentiers battus, à lire absolument et à défendre, à faire partager que Les Aventuriers de l’Étrange ont eu l’excellente idée de publier en France.
Beaucoup de symboles dans cette aventure, la cage, la tête prise par une idéologie, l’âme. Une parabole en fait où l’enfer est bâti sur de visions de haine, d’un héros sans cage. Que Andrei Puică soit roumain explique peut-être le ton, les angoisses, le poids du passé, la résistance. Le dessin est superbe, riche, bourré de détails, élancé pour cet envol que l’auteur a assumé en totalité sur fond d’inspiration Art Déco, de Mucha. Un auteur à suivre.
Une lente mais prenante balade au cœur de la forêt, une communion avec la nature,…
On avait dit que La Sagesse des Mythes, collection consacrée à la mythologie grecque, devenait…
L'Union Européenne, un grand bazar, c'est ce que dit Kokopello dans La Tour de Babel…
Un capitaine pirate pas très doué au moins en apparence qui va jouer son va-tout…
Il fallait bien plus de 200 pages pour raconter vie et destin d'une famille allemande…
Un nouveau Dracula, un de plus ? Pas sûr car L'Ordre du dragon sous-titre de…