Un manga qui fait le poids, avec son lot de manipulations, de surprises, de coups de théâtre, en finesse. Lesson of the Evil est un petit bonheur d’angoisse à la Hitchcock où l’on sent monter la pression à chaque page. Un premier tome signé par Yūsuke Kishi et Eiji Karasuyama. Horreur planifié et sur mesure.
On ne traite pas souvent de manga sur ce site. Cette fois, Lesson of the Evil méritait une chronique à cause de ses qualités scénaristiques et l’envie irrésistible de savoir qui est vraiment le monstre de l’histoire, le prof ou un élève. Car c’est sûr, il va y avoir du sanglant dans cette série en neuf tomes. Le dessin aussi est de très bonne qualité, prenant, captivant et sensuel si besoin. Une belle découverte estivale.
On avait dit que La Sagesse des Mythes, collection consacrée à la mythologie grecque, devenait…
L'Union Européenne, un grand bazar, c'est ce que dit Kokopello dans La Tour de Babel…
Un capitaine pirate pas très doué au moins en apparence qui va jouer son va-tout…
Il fallait bien plus de 200 pages pour raconter vie et destin d'une famille allemande…
Un nouveau Dracula, un de plus ? Pas sûr car L'Ordre du dragon sous-titre de…
Ce ne sont pas les premiers et la tendance se confirme. La BD aime de…