La fin du combat des Golden Dogs, unis pour le meilleur et pour le pire, quatre compagnons de route, quatre cambrioleurs, escrocs de haut vol, qui ont aux trousses un juge qui les hait. Golden Dogs à Londres à la fin du XIXe siècle pour cadre. Et Desberg au scénario, Griffo au dessin. Avec ce tome on clôt (provisoirement) le débat.
Une fin un peu échevelée, qui mêle fantastique, horreur et action, donne soudainement aux personnages des ambitions et des buts parfois chaotiques. On reste surtout sur le dessin de Griffo et l’idée de départ, excellente, de ces quatre albums qui auraient mérité une apothéose finale plus cadrée.
Golden Dogs, Tome 4, Le Lombard, 14,45 €
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