Monde de merde, c’est pas la joie pour François

Une galerie de dessins de presse signés par le Montpelliérain Aurel et chapitrés par Renaud Dely, c’est le bilan de dix huit mois de socialisme au pouvoir. Monde de merde est une somme d’humour, parfois noir, mais qui colle parfaitement à la dure réalité du moment.

Monde de merde Et ça commence en force. Le petit pépère des peuples, un certain François Hollande, a fini sa période d’essai. Sauf qu’il a été embauché et que maintenant, à part un licenciement pur et dur, il faudra qu’il finisse son mandat. Flanqué de l’hyper nerveux Ayrault, il peut déjà comme le dessine et lui dit Valérie, être content d’avoir un job de nos jours. Et tous les dessins sont à l’avenant pour un Hollande décrit comme un spécialiste de la marche arrière.

La gauche c’est par où ? Évident qu’on peut se le demander. Montebourg, spadassin solitaire, Valls le chéri des sondages qui est le seul à savoir où il va mais aimerait bien y aller seul, le chômage qui grimpe, la relance qui est aux abonnés absents, Aurel y va en ligne droite (enfin directe).

Car la droite est à la rue. Copé a tout fait pour. La France rayonne titre Dély mais le ciel est couvert, de la Syrie au Mali, de la Bretagne au Sénat. Enfin, on va garder espoir avec Aurel et rire, jaune.

Monde de merde, Glénat, 15,50 €

Monde de merde

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